Il y a un an, les développeurs de Coffee Stain Studios n'auraient jamais imaginé qu'un simulateur de chèvre humoristique puisse devenir un produit aussi populaire et demandé à l'heure de la haute technologie d'aujourd'hui. Même la sortie du jeu le 1er avril faisait clairement allusion à la frivolité de ce qui se passait dans le jeu. Mais quelle était la sincérité de ces personnes que le simulateur de chèvre était capable de captiver plus que les derniers jeux de tir et RPG.
Il n'y a pas une once d'intrigue, pas de dialogue, pas d'armes sympas, ni même de personnages hauts en couleur. Il n'y a qu'une chèvre que vous contrôlez et une petite colonie qui attend le chaos, et c'est la beauté du jeu. Cela ne semble rien de spécial, mais ce n'est que jusqu'à ce que vous appreniez à mieux connaître le jeu. Ce serait ennuyeux de jouer une chèvre ordinaire, alors nous jouons avec une chèvre spéciale, avec une langue très longue et collante. Le jeu a une totale liberté d'action, presque tout peut être détruit ou au moins cassé.
Des œufs de Pâques intéressants et des secrets des développeurs égayent votre temps dans le jeu. Nous avons la possibilité de devenir un roi chèvre avec son propre château ou une puissante créature diabolique dotée de pouvoirs obscurs.
On se sent incroyablement à l'aise dans Goat Simulator, et étudier la carte et en même temps faire une pause dans la vie quotidienne est un pur plaisir. Je ne peux que recommander d'y jouer à ceux qui sont tristes et à ceux qui en ont tout simplement marre des jeux qui demandent au joueur d'être trop sérieux. C'est mieux de jouer entre amis, c'est très amusant !